Kita Uchi Harsh but Fair || Ministre Luse
Messages : 12 Date d'inscription : 19/05/2012 Age : 27
| Sujet: ■ Le journal du ministre ■ Lun 4 Juin - 18:47 | |
| Infos
Nom Dale Prénom James Surnom(s) M. le Ministre Âge 28 ans Sexualité Homosexuel Caractère
Phobies Ne plus être dans le gouvernement ou l'éffondrement de celui-ci J'aime le gouvernement, les lois, les règlements, que les choses se passent comme j'en ai décidé, le pouvoir, les hommes J'aime pas les mauvaises surprises, les choses mal faites, les plans qui ne fonctionnent pas, les enfants, en particulier quand ceux sont des préposés à vous prendre le pouvoir Projets d'avenir Continuer à donner le meilleur de soit même pour son monde et neutraliser la menace "Violette" par tous les moyens necessaires Physique
Taille 1m82 Poids 63kg Cheveux Bleu-Vert Yeux Rouge Vestimentaire Costumes de hautes coutures et sur mesures, et très rarement tenue civile mais de marque. |
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Mon histoire
Quoi vous voulez connaître mon histoire qui est strictement confidentielle ?! *soupire* Je vois, je vois, je dois obligatoirement l’écrire sinon je ne pourrais pas aller bosser… Bon d’accord, puisque vous insistez et que vous faites cette tête de petit chien battu je vais vous la raconter, mais ne soyez pas surpris, mon histoire n’est pas une histoire très intéressante et je rajoute simplement beaucoup de blabla pour remplir les lignes.
Vous ne le savez peut être pas, mais mon vrai nom est James Black, enfin je l’ai comme qui dirait vite oublié. En effet je ne me rappelle pas de mon père, M Black, mes parents n’étaient pas mariés et ils se sont séparés peu de temps après ma naissance, ma mère refusa de me confier à mon père qu’elle traitait sans cesse de « gros salaud », oui elle utilisait toujours ce mot, je m’en souviens très bien, mais pourtant moi je ne disais rien, je n’ai jamais rien dit. En fait ma mère, Melle Dale était dépressive, elle prenait beaucoup de médicament et elle avait finit par mettre toute sa maladie sur le dos de mon père inconnu pour moi. Ah mais on aurait pu penser que ce dernier m’aurait cherché non ? Vous êtes loin du compte, il m’a vite oublié, je ne l’ai jamais rencontré. A mes trois ans, je décidai moi-même de quitter le foyer familial. Je n’ai jamais eut une véritable enfance, je me suis toujours débrouillé seul. Ma mère ne travaillait plus, pourtant comme nous venions d’une famille aisée, je réussis grâce à l’aide d’une voisine, à être accepté à Peymuse. Belle réussite non ?
Je ne revins que très rarement chez moi par la suite. Je n’aimais pas revoir ma mère, elle n’avait rien fait pour moi et à la fin elle avait finit par être envoyé dans un hôpital spécialisé. Je n’ai pas réagit à la nouvelle. J’ai simplement continué mes études. Les années passèrent tranquillement, chaque année je faisais en sorte d’être élu délégué, j’avais une ambition depuis tout petit, entrer au gouvernement ! J’étais le meilleur de ma classe à chaque fois, je m’approchais beaucoup de la moyenne maximum, j’avais je n’eu une seule note en dessous de 17, même en sport, et j’étais aussi l’un des meilleurs ! Inutile de vous dire que beaucoup de filles craquaient sur moi, pourtant je ne faisais que les ignorer.
Une année, alors que j’avais 19 ans, ma dernière année d’étude à Peymuse donc, je me baladais entre les allées de l’école quand j’avais entendu des petits pleurs, je m’étais rapproché et l’avait rencontré. Elle avait 12 ans à ce moment. Elle avait l’air triste, elle me donna son nom calmement quand je lui demandai sans même lever les yeux vers moi. Je fus touché par cette profonde tristesse, et sans même réfléchir, j’avais posé une main sur son épaule lui disant que tout s’arrangerai, que tout irait mieux pour elle, qu’elle n’avait plus à s’en faire, pourtant je ne connaissais pas son problème. Par la suite je l’avais porté dans mes bras et l’avais raccompagné dans sa salle comme si c’était tout à fait normal. Ses yeux étaient toujours rouges, pourtant quand je la posais au sol et que je déposai un simple baiser d’encouragement sur son front elle me sourit et me remercia du fond du cœur. Par la suite je revins souvent la voir, elle me confiait tout, avec elle je me sentais naturelle. Et puis je finis mes études.
Le jour de mes 20 ans, j’étais en train de faire mes valises quand elle entra dans ma chambre au bord des larmes. Elle me fit alors une promesse, elle me promit de finir ses études et qu’ensuite elle me retrouverait pour m’aider comme je l’avais aidé. Je la remerciai et déposai un nouveau baiser sur son front avant de partir pour de bon de Peymuse avec une mention parfaite.
Il me fut facile d’entrer au gouvernement, je gravis rapidement les échelons. Et depuis 4 ans je suis au poste de ministre Luse, j’assume parfaitement mon rôle.
La jeune fille dans tout ça ? C’est tout simplement Emalia, elle a tenue sa promesse, quand je l’ai vu débarqué au siège de gouvernement à ses 20 ans, je me suis précipité vers elle et lui avais tendu une main à la fois amicale mais aussi celle d’un patron. Elle m’expliqua les études qu’elle avait faites à Peymuse, la mention qu’elle avait eut, et je l’avais tout simplement prise comme garde du corps. Elle me vouait une entière confiance et moi aussi. Tout était parfait. Quelque jour plus tard j’appris la mort de ma mère. Je fus certes peiné, mais je ne pleurais pas. Emalia m’accompagna à l’enterrement. Mais ce fut tout, je ne portai aucun autre hommage à ma mère.
C’est ainsi que je vis à présent. Et je ne changerais de vie pour rien au monde ! Je tiens à tout, en particulier à ma place de ministre mais aussi à ma petite Emalia…
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Mes Armes
■ Une micro-caméra qu'il allume la plupart du temps, très pratique pour tout enregistrer et tout utiliser par la suite, cachée à travers la poche haute de sa veste.
■ Un révolver, c'est indispensable, même s'il ne s'en sert jamais, caché dans la poche intérieur de sa veste.
■ Un teaser, c'est son arme la plus fréquente, il préfère neutraliser ceux qui lui voudrait du mal, caché dans la poche droite extérieure de sa veste.
■ Un couteau-suisse, toujours en avoir un sur soit ! Caché dans une des poches de son pantalon. |
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Kita Uchi Harsh but Fair || Ministre Luse
Messages : 12 Date d'inscription : 19/05/2012 Age : 27
| Sujet: Re: ■ Le journal du ministre ■ Lun 4 Juin - 18:50 | |
| Liens
• Parceque tout seul sur Tevy, rien ne serait pareil •
Emalia Ma garde du corps, ma petite protégée
elle a 21 ans et a quitté Peymuse il y a un an avec une parfaite mention et une spécialisation dans le maniement des armes. Elle Travaille pour James depuis. Elle ne parle presque jamais en publique, en fait elle vient simplement murmurer quelques paroles à son chef en qui elle a une entière confiance qui est réciproque, elle ne fait pas que le protéger, elle est toujours à ses côtés lors des réusions et autres pour lui donner des conseils, lui rappeler ses rendez-vous, etc. C'est une belle jeune femme aux yeux rouges et aux cheveux noirs coupés courts, elle porte des lunettes pour faire plus sérieux lorsqu'ils se trouvent tout deux en réunion, lors des grands rassemblements, ou dans le siège du gouvernement. Elle se nomme Emalia, qui n'est pas son véritable prénom, le vrai et son nom de famille sont simplement connu d'elle et de James. Il semblerait qu'elle ai des sentiments pour lui, mais James la considère plutôt comme une petite soeur et une personne qu'il doit protéger, c'est ainsi qu'il tient à elle. | |
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Kita Uchi Harsh but Fair || Ministre Luse
Messages : 12 Date d'inscription : 19/05/2012 Age : 27
| Sujet: Re: ■ Le journal du ministre ■ Lun 4 Juin - 18:59 | |
| Suse n'est-ele pas une belle ville ?
RP libre Su n'est-elle pas une belle ville ?RP en cours
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Extrait " C'est alors que James se mit à la chatouiller. Elle se mordait les lèvres pour ne pas rire, mais peu à peu la tentation fut trop forte. Ainsi le ministre réussit à la faire rire au milieu de cette ruelle très sombre de Suse, qui pourtant était l'une des villes les plus rayonnante de tout Tevy. Ainsi il réussit à faire qu'elle se détende et qu'elle lache son arme qui tomba lourdement au sol. Comme il avait relaché la pression autour d'elle, elle voulu se baisser pour la rattrapper, mais tout en la chatouillant, l'homme donna un coup de pieds pour l'éloigner d'eux. En les voyant ainsi on les aurait pris pour deux grands gamins. Ils s'amusaient ensemble, les occasions étaient quand même rares, mais ce jour-là ils ignoraient tout deux ce qui allait ce passer par la suite.... " | |
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